Les récentes évolutions politiques en Europe et en Asie ont démontré la vulnérabilité croissante des marchés face aux turbulences nationales, même dans les économies les plus avancées.
En France, la démission du Premier ministre a provoqué une chute du CAC 40, un affaiblissement de l’euro et une hausse des rendements obligataires, signe d’une perte temporaire de confiance des investisseurs.
(Source : The Guardian)
À l’inverse, au Japon, l’élection de Sanae Takaichi — favorable à une politique budgétaire plus expansionniste — a stimulé la hausse de la Bourse de Tokyo, tout en entraînant un recul du yen, conséquence d’attentes accrues en matière de dépenses publiques.
(Source : The Guardian)
Ces événements illustrent un phénomène global : les marchés financiers réagissent de plus en plus directement aux instabilités politiques, reflétant une interconnexion accrue entre gouvernance et économie.
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